La Reine Margot
Marguerite de Valois, fille d’Henri II et épouse d’Henri IV, est-elle vraiment la même personne que la reine Margot ? Si la première est une figure historique, la seconde relève plutôt du mythe. La littérature romantique, notamment Alexandre Dumas, l’a dépeinte comme une intrigante aux mœurs dépravées. En réalité, son véritable visage est bien différent. La reine Margot était l’une des femmes les plus cultivées et des plus « à la page » de son époque.
« Femme à la page, est-ce qu’elle ne l’était pas par excellence pour son temps, cette reine Margot, cultivée, spirituelle, audacieuse, fine diplomate, se plaisant à l’aventure et se moquant du qu’en dira-t-on, sensuelle et femme de lettres ? Et qui lira l’histoire de sa vie, de ses multiples aventures, pourra-t-il s’étonner qu’elle ait passionné l’auteur de la Chasse à l’homme ! » (extrait de la préface de Claude Gével)
La Vie amoureuse de l’impératrice Joséphine
« Si je gagne des batailles, c’est toi qui gagnes les cœurs ».
Napoléon.
Elle fut une femme multiple, ondoyante, nombreuse, mais toujours bonne, généreuse, charitable et maternelle ; ce qu’elle connut de la passion, elle ne nous en fit pas confidence et, dans la suite de son existence, elle fut, non pas une coquette, mais une sociable avec tout ce que cela comporte de vitalité, de dons divers, de qualités brillantes, et aussi de diminution dans les forces sentimentales. Sur une époque rude, chamarrée d’uniformes neufs, sur ce gala militaire, elle jeta le bon goût, la politesse, le charme, la grâce… Son renom remplit l’univers et, alors qu’on redoutait l’Usurpateur, on la sacrait volontiers Impératrice, reine des cœurs, tant était immense son féminin prestige qui passait les mers, s’étendait au-dessus de tout, comme ses fleurs…
La Vie amoureuse de l’impératrice Joséphine
« Si je gagne des batailles, c’est toi qui gagnes les cœurs ».
Napoléon.
Sur une époque rude, chamarrée d’uniformes neufs, sur ce gala militaire, elle jeta le bon goût, la politesse, le charme, la grâce… Son renom remplit l’univers et, alors qu’on redoutait l’Usurpateur, on la sacrait volontiers Impératrice, reine des cœurs, tant était immense son féminin prestige qui passait les mers, s’étendait au-dessus de tout, comme ses fleurs…