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Joseph Fouché

«Il faut faire un certain effort pour se représenter le même homme de chair et d’os, en 1790, professeur ecclésiastique et dès 1792 pilleur d’églises, en 1793 communiste, et à peine cinq ans après plusieurs fois millionnaire, enfin, dix ans plus tard duc d’Otrante. Mais plus ses changements étaient hardis et plus devenait intéressant pour moi le caractère, ou plutôt l’absence de caractère, du plus parfait des disciples modernes de Machiavel ; plus sa vie politique tout entière passée dans les coulisses et dans les ténèbres devenait pour moi captivante et plus sa figure prenait à mes yeux une allure originale et même démoniaque.» (S.Z.)

La Vie amoureuse de l’impératrice Joséphine

« Si je gagne des batailles, c’est toi qui gagnes les cœurs ».
Napoléon.

Elle fut une femme multiple, ondoyante, nombreuse, mais toujours bonne, généreuse, charitable et maternelle ; ce qu’elle connut de la passion, elle ne nous en fit pas confidence et, dans la suite de son existence, elle fut, non pas une coquette, mais une sociable avec tout ce que cela comporte de vitalité, de dons divers, de qualités brillantes, et aussi de diminution dans les forces sentimentales. Sur une époque rude, chamarrée d’uniformes neufs, sur ce gala militaire, elle jeta le bon goût, la politesse, le charme, la grâce… Son renom remplit l’univers et, alors qu’on redoutait l’Usurpateur, on la sacrait volontiers Impératrice, reine des cœurs, tant était immense son féminin prestige qui passait les mers, s’étendait au-dessus de tout, comme ses fleurs…

La Vie amoureuse de l’impératrice Joséphine

« Si je gagne des batailles, c’est toi qui gagnes les cœurs ».
Napoléon.

Sur une époque rude, chamarrée d’uniformes neufs, sur ce gala militaire, elle jeta le bon goût, la politesse, le charme, la grâce… Son renom remplit l’univers et, alors qu’on redoutait l’Usurpateur, on la sacrait volontiers Impératrice, reine des cœurs, tant était immense son féminin prestige qui passait les mers, s’étendait au-dessus de tout, comme ses fleurs…

Madame Vigée-Le Brun

« Les femmes régnaient alors ; la Révolution les a détrônées. » Le mot est de Madame Vigée-Le Brun, une de celles dont l’empire fut le plus incontesté et le plus doux. Elle l’exerça dans le monde, qui ne lui refusa aucun succès, et dans les arts, où la complaisance de la postérité lui a laissé le sceptre fleuri que ses contemporains lui décernèrent. Elle n’appartient pas à la lignée des grands peintres, cette jolie Parisienne qui fut au service des reines frivoles, des beautés de cour ou de comédie ; mais elle a son rang parmi les maîtres du portrait, car elle porte un exact témoignage sur son époque.

Marie-Antoinette dauphine

Couverture de Marie-Antoinette dauphine de Pierre de Nolhac

Mai 1770, Marie-Antoinette vient d’arriver en France. Mariée par procuration, selon l’usage, à l’héritier de la couronne de France, elle a quitté l’Autriche pour toujours, sa famille, ses amis, ses repères. Elle est attendue… Sur ses jeunes épaules pèsent des enjeux politiques qui la dépassent, immédiatement elle doit survivre aux féroces intrigues de la cours de Versailles. Sa force de caractère va l’aider, mais aussi la desservir. Déjà, derrière les premiers combats de la dauphine, se dessine le destin tragique de la dernière reine de France. 

La reine Marie-Antoinette

Couverture de La reine Marie-Antoinette de Pierre de Nolhac

La vie de la reine Marie-Antoinette s’apparente à une tragédie antique, c’est la vie d’une reine mais aussi la vie d’une femme. Pierre de Nolhac tisse une toile où se dessinent les événements majeurs de celle qui fut Reine de France juste avant la Révolution française. Au milieu d’une famille royale hostile et une cour trop intéressée par les privilèges accordés, l’auteur nous fait comprendre comment, adulée et aimée au début de son règne, Marie-Antoinette meurt dix-huit ans après sur l’échafaud un jour d’octobre 1793. Un portrait de Marie-Antoinette très réaliste et très touchant.

Madame Vigée-Le Brun

Couverture de Madame Vigée le Brun de Pierre de Nohac

« Les femmes régnaient alors ; la Révolution les a détrônées. » Le mot est de Madame Vigée-Le Brun, une de celles dont l’empire fut le plus incontesté et le plus doux. Elle l’exerça dans le monde, qui ne lui refusa aucun succès, et dans les arts, où la complaisance de la postérité lui a laissé le sceptre fleuri que ses contemporains lui décernèrent. Elle n’appartient pas à la lignée des grands peintres, cette jolie Parisienne qui fut au service des reines frivoles, des beautés de cour ou de comédie ; mais elle a son rang parmi les maîtres du portrait, car elle porte un exact témoignage sur son époque.