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Contes et nouvelles

Monsieur Prokhartchine
La logeuse, suivi de deux histoires
L’honnête voleur
Le moujik Maréï
La timide
Le crocodile
La centenaire

Plongez dans l’univers de Fédor Dostoïevski avec ce recueil qui vous transportera dans une Russie empreinte de mystère, d’émotions et de profondeur. Découvrez ou redécouvrez ces histoires intemporelles qui explorent avec finesse les complexités de la nature humaine et invitent à réfléchir sur les questions éternelles qui nous animent.

Alexandre Dumas

«Monsieur, écrivait un jour Michelet à Dumas, je vous aime et je vous admire, parce que vous êtes une des forces de la nature.» – Ce mot, dont Dumas tirait justement vanité, résume l’homme. Dumas fut, avant tout, un créateur. Il eût mieux fait, sans doute, en produisant moins, en visant la gloire avant la fortune, en ciselant enfin au lieu d’improviser; mais, ces erreurs déduites, il reste l’artisan d’une œuvre en partie écroulée, en partie debout qui, comme un monument ouvert aux quatre vents du ciel, sera toujours plein de bruit, de clarté, de vie exubérante.
Inventeur et prodigue, Dumas conserve, au respect des intellectuels et à la sympathie des foules, les mêmes droits imprescriptibles, car son génie fut fait de grandeur vraie et de suprême bonté.

Madame Vigée-Le Brun

« Les femmes régnaient alors ; la Révolution les a détrônées. » Le mot est de Madame Vigée-Le Brun, une de celles dont l’empire fut le plus incontesté et le plus doux. Elle l’exerça dans le monde, qui ne lui refusa aucun succès, et dans les arts, où la complaisance de la postérité lui a laissé le sceptre fleuri que ses contemporains lui décernèrent. Elle n’appartient pas à la lignée des grands peintres, cette jolie Parisienne qui fut au service des reines frivoles, des beautés de cour ou de comédie ; mais elle a son rang parmi les maîtres du portrait, car elle porte un exact témoignage sur son époque.

Madame Vigée-Le Brun

Couverture de Madame Vigée le Brun de Pierre de Nohac

« Les femmes régnaient alors ; la Révolution les a détrônées. » Le mot est de Madame Vigée-Le Brun, une de celles dont l’empire fut le plus incontesté et le plus doux. Elle l’exerça dans le monde, qui ne lui refusa aucun succès, et dans les arts, où la complaisance de la postérité lui a laissé le sceptre fleuri que ses contemporains lui décernèrent. Elle n’appartient pas à la lignée des grands peintres, cette jolie Parisienne qui fut au service des reines frivoles, des beautés de cour ou de comédie ; mais elle a son rang parmi les maîtres du portrait, car elle porte un exact témoignage sur son époque.